samedi 2 décembre 2023

NAO : 2 -ème réunion de négociation salariale – 1 décembre 2023

✊✊


Ce vendredi 1er décembre a eu lieu la deuxième réunion NAO chez Interforum et toujours pas DE PROPOSITION DE LA DIRECTION INTEFORUM

Comme chaque année, la direction a commencé par un exposé au sujet de la situation économique du groupe qui immanquablement se trouve être compliquée et difficile ou encore pleine d'incertitude. 
Histoire de bien nous préparer à ses futures propositions maigrichonnes.

La CGT Interforum est claire sur ce point, les salariés ne sont absolument pas responsables de ces mauvais résultats et qu’ils ne peuvent en subir les conséquences, notamment sur les salaires. 

Les salariés du groupe ont fourni tous leurs efforts possibles, malgré les conditions difficiles qu’ils ont eu à vivre (crise du Covid, réorganisation régulière du travail, avec une adaptation rapide à tous ces événements ou changements, longue incertitude sur l’avenir et sur le futur actionnaire, etc .) 

Tous les salariés ont travaillé, occupé leurs postes avec calme et professionnalisme.

Nous avons entendu les différents discours de la direction générale de Monsieur Olivennes et Madame Lucet ce vendredi 1er décembre sur la forte baisse du chiffre d’affaires et du résultat et la hausse des énergies, la hausse des matières premières, la hausse de tout, qui touchent également les foyers et les familles. L’inflation a particulièrement précarisé les bas salaires.

La balle est maintenant dans le camp de la direction. A elle de se montrer à la hauteur des enjeux.


Rappel des premières revendications de la CGT :

Augmentation générale des salaires de 10 %minimum comme le revendique la cgt.

Pourquoi 10% minimum :
Devant la hausse des prix des électricité + 10 % en août et 15 % en janvier 2024, le carburant un libre à 2€ et les prix alimentaires + 15%

L'augmentation générales des salaires doit être la priorité et non pas les primes.

Salaire d'embauche chez Interforum à 2000€ brut
RIE du 92 ADF Revoir les tarifs du RIE et demande la GRATUITE pour les bas salaires (plafond à discuter 35 et 37 k€)

Sans oublier les revendications suivantes :
L’égalité salariale et professionnelle femme-homme (budget pour effacer les inégalités)
La reconnaissance de qualifications (la base des revendications cgt)

Ne pas sous-estimé le cout de la protection sociale a venir (nous seront très vigilants sur ce sujet qui est un peu oublier par beaucoup)

La CGT Interforum se félicite que la CFDT et FO reprennent les revendications sur la Mobilité et une création d’une prime d’ancienneté (a savoir les revendications de la cgt depuis 2020)

Pass Navigo 100% employeur
Forfait Mobilité 100% employeur
Mise en place d’un chèque énergie
Mise en place d’une indemnité carburant compensatrice pour les sédentaires
Une indemnité kilométrique pour ceux qui se déplace en vélo
La revalorisation de l’indemnité télétravail

Prochaine réunion le jeudi 7 décembre à 14h30 

A vos clavier et commentaires !

Didier Glachant
DSC cgt Interforum Editis
0619285287

 

mercredi 25 octobre 2023

Droit à congés payés et arrêt de travail : merci la CGT !

Sur initiative de la CGT, la Cour de cassation vient de trancher sur la question de l'acquisition des CP pendant un arrêt maladie non professionnelle. Des jurisprudences viennent ainsi contredire le Code du travail qui est contraire aux directives européennes : les salariés en arrêt maladie doivent accumuler des congés payés durant la période d’arrêt de travail ! « Ces arrêts de la Cour de cassation sont d'effet immédiat, avec effet rétroactif »

Si vous êtes concernés il faut demander la régularisation de vos droits à congés aux RH. En cas de difficulté contactez-nous !

Notre action chez Interforum Edits : Courrier adresser à la direction Interforum après avoir envoyé un mail en septembre dernier avec une réponse pas satisfaisante de la DRH.

Nous tenons à vote disposition un modèle de courrier individuel

Didier Glachant

DSC CGT Interforum Editis

FILPAC-CGT✊✊✊

0619285287


jeudi 15 juin 2023

COMMUNIQUE CGT INTERFORUM PPV


Seul le salaire peut et doit répondre aux besoins des salariés

Les mesures annoncées par le gouvernement dans la loi « sur le pouvoir d’achat » ne sont vraiment pas à la hauteur de la situation. Elles démontrent, une fois de plus, que le gouvernement est aux ordres du patronat pour détruire notre modèle social.

La Prime PPV "lâchée" de 500€ NON NEGOCIABLE par la Direction de Vivendi en juillet pour les salariés du groupe Editis et extrêmement insuffisante au regard de l’inflation et du niveau des salaires. Dans le courrier adressé à la DRH et DG de la Cgt, les revendications était plus spécifiquement sur l’inflation qui touchent l’ensemble des salariés du groupe Editis avec la hausse généralisée des prix.

Car dans le groupe Editis, des salarié-e-s ne mangent pas à leurs faims et ont du mal à finir leurs fins de mois (cadres compris)

Il est urgent que la direction face des efforts sur les salaires, la restauration, et les indemnités télétravail (courrier de la Cgt et relance fin avril)

Avec une inflation galopante en juin qui restera élevée jusqu’à la fin de l’année 2023, avec l’augmentation en janvier du prix de l’énergie de 15 à 20%…. le gouvernement vient au secours du capital, protège ses amis patrons en octroyant des mesurettes qui ne compenseront pas la perte du pouvoir d'achat comme la prime PPV .

Pour la Cgt :

Toute une série de mesures annoncées qui ne va pas dans le sens de la pérennisation de notre bien commun à tous, la Sécurité sociale (*), car toutes sont des primes et autres chèques exonérés de cotisations sociales : chèque carburant, chèque alimentation, augmentation du plafond de défiscalisation des heures supplémentaires, primes PPV…. Toutes ces mesures ne coûtent pas un centime aux patrons, qui continuent de s'engraisser et de verser des milliards de dividendes aux actionnaires !

(*) La CGT a été à l'origine de la création de la Sécurité Sociale en 1945 et de la caisse de retraite complémentaire des cadres AGIRC en 1947

Quand viendra donc le moment de parler salaire en redonnant la part de richesses crées par les salariés… aux salariés ?

La question de la réappropriation des richesses doit être au cœur des politiques salariales dans toutes les entreprises. L'argent existe ! Les profits des plus grandes sociétés cotées ont dépassé 150 milliards d'euros en 2021, et les économistes estiment un bond supplémentaire de 12% pour 2022.

Vivendi n'échappe pas à la règle.

Le mépris, ça suffit !

Surtout que VIVENDI avait la possibilité d’aller jusqu’à 6000€ pour la PPV.

Vivendi a largement de quoi financer une mise à niveau du pouvoir d'achat

-    Cette Prime de Partage de la Valeur de 500 euros à tous les salariés dont le salaire de base est inférieur ou égal à 3 SMIC ANNUEL (Soit 61.115,55 pour un temps plein)

-    Cette prime sera versée au mois de juillet 2023.

-     500€ divisé par 12 mois = 41€ par mois

La Cgt Interforum ne signera pas

Interforum Editis CGT Reprise d’Editis : Kretinsky met les salariés dans le brouillard


Les représentants du personnel des CSE et CSEC du groupe Editis sont consultés à partir du mardi 30 mai 2023 à 14 heures sur le projet IMI/CMI, dirigé par M. Kretinsky, pour la reprise du groupe Editis. Cet avis est purement consultatif, et non-contraignant pour l’acquéreur. Pour la CGT, et son représentant syndical Didier Glachant, « il est impossible de donner notre position. Le projet est trop flou, il y a trop de questions sans réponses ».

En effet, nous restons sans réponses écrite sur :
– La garantie de l’emploi
– Le projet industriel et de développement pour maintenir le positionnement du groupe actuel (2 ème groupe derrière Hachette livres)
– Garantie du périmètre du groupe Editis (des sites du 92 ADF, d’Ivry, de Tigery et de Malesherbes
– Le maintien des 3 activités, édition, diffusion et distribution, pour garantir un fonctionnement cohérent du groupe,
– L’indépendance éditoriale de l’ensemble des directions
– Le maintien des garanties collectives et la convention nationale collective de l’Edition.

Nous prenons acte de la reprise du groupe Editis à 100% par un actionnaire unique, mais on est trop loin du compte : lors des différentes réunions d’instances, M. Olivennes, représentant de CMI France, a accumulé les généralités, n’a pris aucun engagement écrit, n’a fait montre d’aucune transparence, tout en esquivant les réponses aux questions en se cachant derrière ses juristes et ses avocats.
Par ailleurs, le même M. Olivennes est seulement le représentant de CMI France, il ne dirigera vraisemblablement pas Editis. Il est notre interlocuteur aujourd’hui, il ne le sera plus demain : c’est un gros problème.
D’autant que les chantiers sont nombreux pour notre organisation syndicale: salaires, classifications, conditions de travail, protection sociale, passage aux 32 heures sur 4 jours etc… Avec qui se feront les négociations ? Quelle direction, quelle DRH ?
Dans ces conditions, dire à des représentants du personnel que « le dialogue social ne se fera pas sans eux » n’a pas de sens.
En résumé, les incertitudes sont trop lourdes, et les louanges déversées par M. Olivennes sur le groupe et son management n’y pourront pas grand-chose.
Qu’ils soient responsables, juristes, avocats, la CGT n’a pas eu l’occasion de rencontrer les représentants de IMI/CMI. Il nous paraissait normal, légitime, d’avoir davantage de visibilité sur le projet de reprise et sur la façon dont le futur actionnaire envisage l’avenir d’Editis, mais du côté de IMI/CMI on ne l’entend pas de cette oreille-là.

C’est pourquoi la CGT Interforum n’est pas en mesure de donner leur avis. Nous le répétons, le projet est trop flou, trop de questions restent sans réponses. 


vendredi 26 mai 2023

PROCESSUS CESSION EDITIS

COMMUNIQUE CGT EDITIS FILPAC


 

Le processus d'acquisition d'Editis par le groupe CMI n'est pas achevé, que déjà Editis envoie des signes peu rassurants (inquiétants ?).

 

Le 21 avril dernier, on reportait de "quelques semaines" les avis des CSE et CSCE, pour donner à tous, syndicats, Secafi, le temps de la réflexion, et que des échanges aient lieu avec des représentants de CMI France.


 

 

Le tout, pour que les CSE et CSEC rendent un avis avant le 31 mai.

 

Nous sommes le vendredi 19 mai, des réunions préparatoires seront organisées avec Secafi à partir du mardi 23 mai : huit jours, seulement, pour que les CSE et CSEC se prononcent sur un dossier aussi déterminant.

 

Nous avons logiquement demandé à rencontrer M. Kretinsky et ses représentants français, dont M. Olivennes. On savait la direction de CMI en discussion avec des éditeurs et des distributeurs (Fnac, Casino), elle pouvait bien rencontrer des représentants du personnel, et préparer aussi le terrain social.

 

Nous attendons toujours.

 

Si le but de l'opération est de nous contraindre à un rendu d'avis sans nous donner le temps ni les moyens de l'analyse, c'est la crédibilité-même de l'opération qui est en cause.

 

Nous demandons donc à la direction d'Editis et à CMI de ne pas entacher le redémarrage d'Editis de mauvaises pratiques, mais plutôt de le marquer par une vraie dynamique de négociation sociale.

mercredi 26 avril 2023

ECHANGE ENTRE LA DIRECTION ET LES COORDINATEURS SYNDICAUX

 CR de la réunion du 21/4 avec la direction EDITIS 

Présent : DRH Groupe , Mr Laurent Mairot et Mr Ayari Karim

OS : CFDT 3 personnes, CGC 2 personnes, FO 1 personne, USI 1 personne et CGT 1 personne mandater par la Filpac-CGT 

Déclaration de la DRH Groupe en début de réunion

Le groupe Editis souhaite entrer en négociation sur les conditions du dialogue social dans le groupe Editis et va inviter les OS à mandater des négociateurs pour discuter des rôles de chacun et que les choses soient posés.

Plusieurs organisations syndicales se sont plaint des communications d’autres OS qui contribue à un climat anxiogène qui déjà bien installé et aussi plaint de la manière que la direction est organisée cette réunion (avec les coordinateurs syndicaux du groupe)

On a eu le droit à des échanges avec la direction sur la place des coordinateurs syndicaux chez Editis et leurs rôles. Juste un rappel les coordinateurs syndicaux Editis sont mandater par les organisations syndicales et leurs fédérations.

Processus de cession Editis

La drh groupe annonce qu'on prendra le temps pour l’expertise (daté du 21 avril 2023)

Un mail de la direction Editis sera envoyé aux secrétaires d’instances pour rassurer tout le monde sur le délai de l’expertise SECAFI ( mail envoyé depuis par la direction aux secrétaires d'instances)

Mais entre temps, il a eu AG de Vivendi du lundi 24 avril et nous venons d’apprendre le deal avec IMI et Vivendi sous condition évidemment de l’accord des instances de la concurrence.

Position Cgt :  

Suite à la réunion du vendredi 21 avril 2023 et comme il y en a pour des mois avant de savoir comment ça va finir, nous continuerons à nous s’exprimer sur le projet Kretinsky.

 

La Filpac-CGT demande a ce que la consultation ne se termine que lorsque le projet de rachat aura été validé (ou non) par la Commission.

 


 


UN 1ER MAI UNITAIRE ET POPULAIRE POUR LE RETRAIT DE LA REFORME DES RETRAITES

La CGT appelle l’ensemble du monde du travail à faire du 1er Mai une journée puissante de manifestation portant l’exigence du retrait de la réforme des retraites, de la Paix et de la justice sociale, en France et partout dans le monde.








QUESTIONNAIRES DE LA COMMISSION EUROPEENNE, DG CONCURRENCE A LA FILPAC-CGT


La FILPAC-CGT a rempli les questionnaires assister du cabinet d'expert SYNDEX sur l'édition de livres et le second sur la presse.
Nous avons garder une copie des réponses des questionnaires en PDF envoyé à la commission Européenne.
Didier Glachant

Demande de renseignements en vertu du règlement sur les concentrations
Affaire: M.10433 - VIVENDI / LAGARDERE
DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS: Phase II - Test de marché - Edition

DDemande de renseignements en vertu du règlement sur les concentrations
Affaire: M.10433 - VIVENDI / LAGARDERE
DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS: Phase II - Test de marché - Presse
Délai: 18/04/2023 18:00 CETélai: 13/04/2023 17:00 CET

SUITE A NOTRE ECHANGE AVEC LA COMMISSION EUROPEENNE ASSISTER DU CABINET EXPERT SYNDEX

Communiqué CGT 

Nous avons échangé, le 4 avril dernier, par visioconférence, avec des représentants de la Commission européenne en charge du dossier Bolloré - Editis. Assistait à l'entretien un représentant du cabinet Syndex, qui a présenté les questions principales posées par l'ensemble de l'opération (vente d'Editis – acquisition de Hachette). 

Le processus de vente d'Editis est critiquable par de nombreux aspects : 

- Le mode de de sélection par Vivendi des candidats à la reprise d'Editis. Vivendi a tout fait pour que le repreneur ne soit pas un professionnel de l’édition. Une façon de s'assurer qu'un nouvel Editis, mal piloté et géré par des non-connaisseurs du livre, soit moins dangereux pour Bolloré, nouveau propriétaire de Hachette. 

 - La prise de contrôle d'Editis. Ce serait finalement une acquisition à 100% par M. Kretinsky, et non avec environ 30% des parts comme il était envisagé au départ. Ce schéma prévu initialement par Vivendi a été refusé par la Commission européenne.

 - Le premier actionnaire de la FNAC. M. Kretinsky, possible acquéreur d'Editis est devenu premier actionnaire de la FNAC avec 25 %. L’annonce quasi simultanée de négociations exclusives en vue du rachat d’Editis et la montée au capital de la FNAC est troublante. Si le rachat d’Editis se faisait, le groupe de M. Kretinsky contrôlerait de surcroît un canal de vente commun à toute l'édition. Cette situation de concentration verticale comporte un risque de distorsion de concurrence. En effet, l’expérience montre qu’il est possible de contrôler un groupe avec moins de 30% du capital. 

 S'y ajoute le danger d'une concentration encore renforcée. M. Kretinsky, disposerait ainsi de journaux, de magazines, du n°2 de l'édition-diffusion-distribution ainsi que de la principale enseigne de ventes de biens culturels. Sans compter que M. Kretinsky ne cache pas son envie d’investir dans l’audiovisuel.

 - À la suite des questions que nous avons soulevées, nous n'avons obtenu, de la part de la Commission, que des réponses partielles ou évasives. Quant au problème soulevé par la FNAC, la Commission n'a pas encore commencé à examiner le dossier...

 - Pour la CGT, la concentration constitue l'une des explications du mode de recrutement des candidats à l'achat d'Editis. Plus un groupe est gros et cher, moins les éditeurs sont capables de l'acquérir. D'où la nécessité d'aller chercher des industriels ou des fonds d’investissement. Ceci renforce notre conviction qu'il faut lutter contre la concentration dans l'édition, si l'on veut éviter que des manageurs non issus de l'économie du livre opèrent une gestion à côté de la plaque, et mettent le groupe en danger. Au contraire, nous avons besoin de professionnels, avec une vision et un engagement sur le long terme. Sans exigence trop forte de rentabilité. Il convient de le rappeler, le livre n’est pas une marchandise !

 - Pour nous, les incidences de l'éventuelle détention commune d'Editis et de la FNAC par M. Kretinsky doivent être éclairées au plus vite. Les salarié(e)s d'Editis ont le droit de connaître tous les détails de ce dossier, après des mois sans aucune communication sur le sort de leur entreprise. 

- Pour nous enfin, il est capital d'obtenir des acquéreurs potentiels qu'ils dévoilent leur stratégie et leur vision à moyen terme, avant de prendre les rênes d'Editis. Nous n'accepterons pas de mettre en balance ou en péril des emplois, des carrières, à cause du soi-disant secret des affaires ! 

Le 7 avril 2023, à Montreuil 

Contact presse : 
Didier Glachant 
Coordinateur Syndical CGT Editis 
Membre de la FILPAC-CGT 
Membre de l'UFICT-Livre et Communication 
Courriel : didierglachantcgt@yahoo.com
Portable: 0619285287

REPONSE DE DENIS OLIVENNES A NOTRE COURRIER

        Cher Monsieur,


Merci de votre courriel auquel je réponds bien volontiers, très attaché que je suis au dialogue avec les représentants des salariés. Et en vous prie priant de bien vouloir m'excuser de n'avoir pas répondu à votre premier envoi du 8 février dernier qui était dans mes spams.

Au stade de la procédure où nous en sommes, il me semblerait prématuré de vous rencontrer : nous ne savons pas du tout si notre offre va être retenue.

En revanche, si par chance nous devions recueillir la faveur du vendeur, ce serait avec plaisir évidemment. 

Restons-en contact et reparlons-nous dans les jours qui viennent. Bien à vous. 

Bien cordialement.

Denis Olivennes

COURRIER CGT ENVOYE A DENIS OLIVENNES

 

Monsieur le Directeur général,

Je m'adresse à vous en tant que délégué syndical CGT de l'entreprise Interforum, filiale de diffusion et de distribution du groupe Editis et coordinateur syndical CGT du groupe Editis.

Vous le savez, M. Vincent Bolloré a entrepris d'acquérir le groupe Hachette-livre, et, simultanément, de céder ses parts dans le groupe Editis.

Cette cession pose de nombreux et douloureux problèmes. Citons l'avenir précaire de nombreuses maisons d'édition, qui pourraient perdre leur rattachement à un groupe, et seraient, pour les unes, privées des moyens logistiques que le groupe mettait à leur disposition, et, partant, de leur attractivité économique, et, pour les autres, menacées de disparition.

En tant que syndicat de salarié(e)s, notre souci concerne aussi et surtout 2 300 personnes, soit l'effectif total d'Editis (édition-diffusion-distribution), dont l'avenir professionnel et personnel est compromis par la démarche de M. Bolloré.

Malgré un secret des affaires qui nous est opposé, nous devons aux salarié(e)s l'information la plus complète possible sur l'évolution de ce dossier. Nous avons consulté des parlementaires français et européens et la Commission européenne, nous avons échangé avec de nombreux journalistes.

Nous nous adressons à vous à présent, car les scénarios de reprise d'Editis tendent à se préciser, et le nom de M. Kretinsky revient avec insistance en tant que repreneur potentiel.

Nous n'attendons pas de M. Kretinsky et de son groupe un dévoilement complet de sa stratégie de reprise, mais des informations sur les grandes lignes de cette stratégie : M. Kretinsky est-il intéressé par la reprise du groupe tout entier ? Dans la négative, où va sa préférence ? Vous comprendrez aisément que des salarié(e)s attendent des réponses à ces questions, parfois vitales pour elles ou eux. Raison pour laquelle je vous les pose ici.

Monsieur le Directeur général, un rendez-vous avec vous permettrait d'effectuer un tour d'horizon de ce dossier. C'est pourquoi je sollicite ce rendez-vous, si possible dans les meilleurs délais.

Dans l'immédiat, je me tiens à votre disposition pour toute information qui vous serait utile, et vous prie d'agréer, Monsieur le Directeur général, l'expression de ma considération distinguée.

Didier Glachant

Coordinateur Syndical CGT Editis

Délégué syndical CGT Interforum Editis

Courriel : didierglachantcgt@yahoo.fr

Portable : 0619285287

POUR LA CGT, TOUT COMMENCE.

POUR LA CGT, TOUT COMMENCE. 

Le syndicat CGT d'Editis a pris connaissance des dernières informations concernant la cession d'Editis : réduction du trio Kretinsky - Courbit - Sterin au seul Daniel Kretinsky, ce qui éloigne la menace idéologique que nous dénoncions, cession d'un seul tenant, et, par conséquent, renoncement à la cotation en bourse.
 
Ces éléments suivent certaines de nos demandes depuis le début du dossier, et nous confortent dans notre stratégie. Pour autant, nos autres demandes restent, et nous ne relâcherons pas la pression : 

- Garantie du maintien des emplois 
- Engagement du repreneur sur le long terme pour maintenir et conforter la position économique d’Editis, par : 
 - Un projet industriel et de développement, 
 - Un plan d’investissement. 
- Garantie du périmètre géographique du groupe Editis (des sites du 92 ADF, d’Ivry, de Tigery et de Malesherbes)
 - Préservation de la cohérence et du bon fonctionnement du groupe par le lien maintenu entre l’édition, la diffusion et la distribution, 
 - Garantie de l’indépendance et liberté éditoriales de l’ensemble des directions
 - Maintien des garanties collectives et de la Convention Nationale Collective de l’Edition
 
Nous demandons avec insistance une rencontre avec le repreneur pour réaffirmer nos points de vue. Car, passé l'épisode de la cession, la bataille pour Editis, ses salarié(e)s et ses éditeurs, ne fait que commencer. 

Le 14 mars, à Montreuil 

Contact presse :
 
 Didier Glachant 
 Coordinateur Syndical CGT Editis 
 Membre de la FILPAC-CGT 
 Membre de l'UFICT-Livre et Communication 
 Courrier : didierglachantcgt@yahoo.com
 Portable: 0619285287

COMMUNIQUE CGT EDITIS ADRESSER AUX SALARIES EDITIS

 COMMUNIQUE CGT EDITIS

En ce moment-même, se jouent l’avenir d’Editis, notre groupe, deuxième groupe français d’édition-diffusion-distribution, et notre avenir, à nous toutes et tous, salarié(e)s d’Editis. 

Nous avons le droit d’être informé(e)s sur l’opération de M. Bolloré. Son groupe existe grâce à notre travail, c’est aussi grâce à notre travail qu’il peut se lancer à l’assaut de Hachette. Mais M. Bolloré raffole du secret. Son opération d’achat de Hachette-livre pose des questions urgentes : sur la survie d’Editis, de ses filiales, sur ce que nous allons devenir, toutes et tous. Et au-delà, sur toute l’économie du livre en France. Mais M. Bolloré n’en a rien à faire. 

« Dormez, et fermez-la » pourrait être le nom de code de l’opération. Editis ne communique pas en interne, pas plus au dehors. Le comité Editis, dans lequel la direction du Groupe dispose de relais « syndicaux » complaisants, s’aligne. Pire : les mêmes nous enjoignent, nous, CGT, et d’autres avec nous, de nous taire aussi. Soi-disant pour ne pas « nuire » aux intérêts de l’entreprise, en réalité pour que M. Bolloré décide de notre avenir sans être dérangé. Editis devient une citadelle assiégée. 

Pas de chance : les langues se délient à l’extérieur. Des témoignages anonymes de salarié(e)s paraissent dans un média en ligne et mettent la Directrice générale dans tous ses états. Elle nous accuse de comploter contre l’entreprise, sans se demander si, dans une ambiance interne moins détestable, les salarié(e)s éprouveraient autant le besoin de s’en plaindre à l’extérieur. 

En attendant, nous, élus et mandatés CGT, nous continuons de faire notre travail. Nous continuerons de dénoncer le climat social qui règne chez Editis, et nous faisons tout pour éclaircir le dossier Vivendi-Lagardère . 

. Nous nous prononçons pour la cession d’Editis à un seul et même repreneur, pour garantir le maintien du groupe, de ses composantes et de ses salarié(e)s, 

. Pour cette raison, nous nous opposons à la cotation du groupe en bourse, qui impliquerait sa vente à la découpe et sa dissolution, 

. Après avoir rencontré de nombreuses sources proches du dossier, et échangé nos informations avec elles, nous feront tout pour rencontrer les repreneurs potentiels, et obtenir de leur part toutes informations possibles sur leurs intentions sociales et économiques, 

. Nous sommes en lien avec des élu(e)s du Parlement européen et la Commission européenne, qui doit se prononcer mi-février sur la validité de l’achat de Hachette-livre au regard de la législation sur l’abus de position dominante, 

Nous ne prétendons pas faire l’impossible, ou des miracles : nous entendons respecter le mandat que les salarié(e)s nous ont confié, et tout faire pour les informer de leurs propres affaires. C’est leur droit, c’est notre devoir.

Ce qu’on veut imposer aux salarié(e)s d’Editis, passé le délai nécessaire pour l’examen des candidatures au rachat de l’entreprise, passé l’avis de la commission européenne, et si celle-ci ne s’y oppose pas, c’est que le nom du repreneur sorte du chapeau, avec un plan stratégique impératif, devant des salarié(e)s ignorant tout et impuissants. 

C’est peut-être le choix des dirigeant(e)s d’Editis et de leurs serviteurs, ce n’est pas le nôtre. Quelle que soit l’issue du processus (et elle risque de ne pas être un long fleuve tranquille), nous restons là pour servir nos collègues. 

Vous pouvez compter sur nous et n’hésitez pas à nous interpeller. 

Info dernière minute 

Notre organisation syndicale a été reconnue comme tiers intéressé par la DG de la concurrence de Bruxelles et elle donnera à la Filpac-CGT la possibilité de faire connaître son point de vue dans ce dossier. 

Didier Glachant 

Coordinateur Syndical CGT Editis 
Délégué syndical central CGT Interforum Editis 
Membre de la FILPAC-CGT et de UFICT-Livre et Communication 
Courriel Perso: didierglachantcgt@yahoo.com 
Courriel Pro: didier.glachant@interforum.fr 
Portable : 0619285287

La CGT demande aux repreneurs de se positionner clairement, notamment sur les points suivants :

 Communiqué de presse

 La CGT demande aux repreneurs de se positionner clairement, notamment sur les points suivants : 

- La reprise du groupe EDITIS à 100% par un seul acteur.

 - Pas de fond d’investissement et de montage LBO

 - La garantie du maintien des emplois

 - Le projet industriel et de développement pour maintenir le positionnement du groupe actuel  (2éme groupe Edition derrière Hachette Livre)

 - Garantie du périmètre du groupe Editis (des sites du 92 Avenue de France, d’Ivry, de Tigery et de Malesherbes) 

- Garder les 3 structures qui coexistent qui sont les éditeurs, la diffusion et la distribution qui garantit le bon fonctionnement du groupe.

 - Préserver l’indépendance éditoriale de l’ensemble des directions

 - Maintien des garanties collectives et de la Convention Nationale Collective de l’Edition 


Pour nous contacter, voici nos coordonnées : 

Didier Glachant 
Coordinateur Syndical CGT Editis 
Membre de la FILPAC-CGT 
Membre de l'UFICT-Livre et Communication 
Courrier : didierglachantcgt@yahoo.com 
Portable: 0619285287

Dossier Vivendi Cession du Groupe Editis

 

Communiqué CGT EDITIS

Dossier Vivendi Cession du Groupe Editis

 

 

Dans le cadre de la future cession d’Editis, les élus du comité Editis et les organisations syndicales de salariés, accompagnés d’un expert (cabinet Secafi), ont travaillé sur un cahier des charges.

 

Ce cahier des charges permettra de peser sur les futurs repreneurs du groupe Editis. Des groupes de travail ont ainsi été constitués et ont travaillé sur différents thèmes, tels que le projet stratégique et industriel, le projet social et l’actionnariat et la structure financière, sans oublier l’indépendance éditoriale.

 

L’ensemble de ces travaux a été finalisé par l’expert le lundi 12 décembre et présenté le mercredi 14 décembre lors de la réunion plénière du comité Editis en présence de la direction des ressources humaines et de la directrice générale du Groupe.

 

Une rencontre va être demandée à la direction de Vivendi dans les prochains jours

 

En dehors de cette action, notre fédération la Filpac-CGT et son UFICT-LC continueront à interpeller les députés français et européens et les ministères concernés (Culture et Économie) sur ce dossier important qui impacte lourdement toute la chaîne du livre et l’édition françaises.

 

Notre fédération la Filpac-CGT et son UFICT-LC travaillent également en continu avec d’autres organisations syndicales au niveau européen et devraient rencontrer prochainement à Bruxelles la direction générale de la concurrence en charge de ce dossier. Cette commission sera celle qui à terme donnera son aval sur le futur repreneur.

 

Liberté d'expression syndicale remise en cause chez Editis

 

Communiqué de la CGT Editis

 

Liberté d'expression syndicale remise en cause chez Editis

 

Notre organisation syndicale pris a parti par la nouvelle secrétaire du comité Editis fraichement élue par les voix de la Cfdt et Cfe/cgc

Il est important que les salariés soit informés de cette nouvelle tentative d’intimidation


En effet, lors du comité Editis du mercredi 18 janvier 2023, nous avons eu le droit de la part de la Direction des Ressources Humaines du groupe Madame Amelie Courty Cayzac accompagnée de la Cfdt et de la Cfe/cgc d'une attaque contre l'interdiction de communiquer à l'extérieur du groupe et surtout pas à la presse qui selon eux desservirait notre cause.


Le Media Indépendant Actuallite déjà pris pour cible par la Directrice Générale du Groupe, il y a plusieurs jours suite à l’expression de plusieurs ex salariés (qui selon nous aurait dû interpeller la direction du groupe) a était pris pour cible une seconde fois par la nouvelle secrétaire du comité Editis, je la cite « Je ne savais pas que c’était passé dans ActuaLitté, mais il faut citer l’organe de presse qui est abreuvé de tout et n’importe quoi. Je pense que cela dessert les communications syndicales et la manière dont les élus s’expriment et travaillent. Parfois, nous sommes totalement opposés, mais nous arrivons à nous rejoindre dans des communications.

Nicolas GARY n’attend que cela, parce qu’il n’a que cela pour nourrir cet organe de presse qui n’est même pas un journal !

Un document qui a été travaillé par les élus est balancé avec, marqué en filigrane ActuaLitté, alors que cela ne leur appartient pas, ce n’est pas leur propriété intellectuelle.

Tout cela dessert les relations que nous avons entre nous. Parfois, nous ne sommes pas d’accord, mais nous arrivons à nous retrouver sur un front commun s’agissant de la vente et du rachat.

Nous savons très bien d’où cela vient. Je ne citerai pas le nom, parce que je ne veux pas faire de procès d’intention, mais je trouve cela lamentable, déplorable ! Cela dessert la lutte syndicale, le travail des élus. Cela dessert tout simplement le groupe. Nous sommes dans le même bateau, même si nous n’avons pas les mêmes opinions.

Je ne dis plus rien, de crainte que ce soit envoyé dans les trente secondes à Nicolas GARY et diffusé dans ActuaLitté avant même que les salariés soient informés.

C’est dramatique ! Je trouve cela déplorable, lamentable et inutile. L’engagée syndicale que je suis est écœurée »

 

Dans cette affaire, on observe qu’au lieu de charger les organisations syndicales qui communiquent, il serai important de défendre la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique au sein du groupe Editis, sans oublier de combattre le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non-vérification des faits et les dérives professionnelles.

La CGT n’acceptera jamais les méthodes d’intimidation et de répression visant à réduire au silence notre organisation syndicales et nos militants.

Nous ne laisserons pas la direction et certaines organisations dite syndicales remettre en cause la liberté d'expression syndicale.

Si c’était le cas, nous mènerons toutes les procédures possibles.

STOP A LA PERTE DE POUVOIR D’ACHAT !

 

FLASH INFOS SYNDICAT CGT EDITIS 2022

 

STOP A LA PERTE DE POUVOIR D’ACHAT !

 

Après 2 réunions dont la dernière le 16 septembre dernier, la Direction des Ressources Humaines Editis et les coordinateurs syndicaux Editis se sont réunis.

Etaient présent :

Raj Gungoosingh CFDT, Isabelle Menil FO, Véronique Chanson CFE/CGC, Jacques Beguet USI et Didier Glachant CGT

Amélie Courty Cayzac et Albane Hocquet Gallet pour la Direction Editis

 

Les propositions de la Direction sont :

 

Augmentation Générale de +5% pour les rémunérations annuelles brutes jusqu’à 28K€

Augmentation Générale de +4% pour les rémunérations annuelles brutes de 28K€ à 32K€.

Augmentation Générale de +2% pour les rémunérations annuelles brutes de 32K€ à 50K€.

Selon la Direction Editis, 75% de l’effectif serait concerné avec une rétroactivité au 1er septembre 2022

Les propositions de la direction sont très insuffisantes pour permettre le maintien du pouvoir d’achat des salariés

Prochaine réunion est prévue le mercredi 21 septembre à 11 heures

 

IMPORTANT

Vous devez savoir que la Direction a demandé aux organisations syndicales présentes à la réunion de ne pas communiquer les propositions aux salariés du groupe Editis.

 

Seule la CGT a refusé de ne pas communiquer

Liberté d'expression syndicale remise en cause chez Editis

 

Ces réunions se déroulent actuellement entre les coordinateurs syndicaux (qui n’ont pas de mandat pour négocier) et la Direction des Ressources Humaines du Groupe Editis représentée par Madame Amélie Courty Cayzac.

 

La Direction Editis refuse que les organisations syndicales informent les salariés sur le contenu des réunions de négociations salariales, pire la Direction tente de bâillonner le coordinateur syndical Cgt en l'intimidant.

La CGT n’acceptera jamais les méthodes d’intimidation et de répression visant à réduire au silence nos militants.

Les revendications de la Cgt sont :

La revalorisation significative de tous les salaires avec une augmentation de 7% hors cadres dirigeant

Il est primordial de parler de « salaire réel » pour les salaires, seul le « salaire réel » permet de mesurer le pouvoir d'achat plutôt que des primes ou des mesures individuelles, la CGT prône des augmentations générales.

Seule une telle mesure est juste et efficace pour le pouvoir d'achat. Il faut dans un premier temps garantir que les salaires suivent l'augmentation des prix.

Pour la CGT, les primes Macron et autres mesurettes « Bornées » sont des leurres et non du salaire !

-        La mise en place d’un salaire minimum de 2000 € pour pouvoir dignement de son travail

-        L’égalité salariale et professionnelle femmes – hommes, travail égal - salaire égal

-        La reconnaissance des qualifications ou expérience professionnelle des salariés sans oublier la pénibilité (par la mise en place d’une grille de rémunération et harmonisation avec les autres filiales)

La participation

Partage des richesses, exigeons notre dû !  Par une participation égalitaire aux bénéfices 

 

Temps de travail

Passage aux 32 heures : travailler moins, travailler mieux et travailler toute et tous ! Diminuer le temps de travail pour créer une nouvelle dynamique de progrès social

 

Mobilité durable

-        Revoir la Prime Mobilité Durable pour le trajet domicile-travail à la hauteur de 600 € par salarié comme la loi le permet

-        Le remboursement à 100% de la carte Navigo ou de toutes cartes de transport du même type en région

Télétravail

-        Augmentation de la prise en charge du forfait « télétravail pour les salariés »

(30€ (1j), 60€(2j), 80€ (3j)

-        Mise en place d’un “chèque bureau” pour favoriser le télétravail hors domicile (faciliter l’accès à des espaces de travail de proximité, tout en permettant le maintien de la vie sociale des travailleurs à distance).

-        Mettre en place le co-working

 

RIE : revoir les tarifs du RIE en réduisant des tranches. Trouvez-vous normal que des cadres aux rémunérations importantes prennent le Menu Malin au restaurant Inter entreprise ?

 

Anti-Gaspillage : Faire bénéficier aux bas salaires <32 000€ des denrées et de la gratuité des boissons chaudes à la cafétéria principale.

 

 

Contre la fonte de votre pouvoir d’achat !

Mobilisons-nous en septembre